Du rab de Bali
Revenons sur cette île bénie des dieux pour quelques compléments iconographiques dont beaucoup pourraient se passer de commentaires, mais je n'en ferai rien...
A l'arrivée, décalage horaire sous trombes de mousson. Même une bonne bière n'y peut rien faire...
Qui es-tu, créature de pierre, avec ta pauvre tronche?
Petits et gros commerçants
Jimbaran Academy (ils nous ont gratifié d'un dancing queen d'ABBA de toute beauté!)
"- Maman les ptits bateaux qui vont dans l'air ont-ils des ailes?
- Mais non, fils d'abruti, c'est un cerf-volant."
D'ailleurs, ce qui se passe sur le sable de Kuta est nettement plus intéressant...
... mais sans comparaison avec ce galbe voluptueux.
"Expressivité", le mot est lâché.
Une fois par mois, les femmes ici sont de mauvais poil pour la simple et bonne raison qu'elles n'ont pas le droit de pénétrer dans les temples. Bon, en même temps, qui va vérifier? Ah ouais, les dieux, OK.
Autre figure féminine, affublée de gros nichons et d'une langue proportionnelle. Ce qui est de nature à effrayer, ce serait plutôt la dentition type hure.
Et son mec. Je vous présente Rupert Barong.
Moi: à gauche. Autour: des potes.
Un autre pote, si content de nous voir qu'il en perd son falzar.
Le détroit de Lombok est déchaîné. Alors on médite...
C'est une poule sur une plage. Je ne vois pas d'autre explication. (Des langues perfides objecteront que cette légende eût pu s'appliquer à la 7ème photo; je méprise ces langues.)
Un membre du staff des Biomans prend le frais en attendant la fin de l'averse.
Je kiffe cette meuf éblouie.
Bin voilà, c'est malin, on célèbre des rites de crémation sur l'eau pour le trépas de la vieille tante, et puis on laisse traîner les déchets qui s'amoncèlent sur les plages.
Le temp' d'Ulu Watu, d'où l'on voit tout.
Et ça se trimballe avec ses offrandes, all day long!
Pussou fait des offrandes au dieu de la mer afin que jamais ses mollets ne soient la cible des attaques de raies. Pour l'instant, ça marche pas mal.