De la fin de l'hiver austral à Santo
Dernière étape, l'île d'Espiritu Santo, célébrissime spot de plongée pour les touristes du Pacifique Sud, grâce aux merdes (croiseurs, chars, canons, machines diverses...) que les Ricains ont balancées dans le lagon pour éviter que les vilains Nippons ne récupèrent du matériel de guerre. Ils auraient tout aussi bien pu le refourguer aux populations locales, afin qu'elle s'en servent pour cultiver, transporter, se faciliter la vie, mais bon... à la guerre comme à la guerre! Et puis rien n'est gratuit en ce bas-monde. Surtout pour les pays pauvres. A moins que les USA n'aient craint une invasion d'Hawaï par quelques tribus de Ni-Vanuatus?
Vue de notre bungalow, Pussou au mieux de sa forme. Il faut bien avouer que le confort tout australien de ce resort nous a fait du bien après les épreuves de Tanna.
Une bonne Tusker Bier dans le bouillon, ça réconcilie avec la life.
Les langoustes aussi. Notez bien la ressemblance dans le teint rougeaud entre le crustacé et son prédateur.
C'est la frime sur les trottoirs de Luganville, la capitale de l'île, et mégalopole n°2 de l'archipel (qu'on traverse en 5 minutes à pieds).
Une plage de pub sur Champagne Beach. En effet, ce site paradisiaque aurait servi de cadre à de nombreuses réclames télévisées de par le monde...
Pourtant le site ne contient pas de chlore, ni de pesticides! 100% bio.
Et hop! On court se dessaler dans le trou bleu d'une rivière à l'onde fraîche et pure (toujours garantie sans produit chimique). C'est sans doute ce qui a inspiré le titre de l'album "True Blue" de Madonna. Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement.
C'était notre dernière étape aux Vanuatus, que nous vous préconisons si vous ne savez pas où aller pour vos prochaines vacances. C'est vrai, les Vanuatus, on n'y pense pas souvent, et pourtant ça vaut vraiment le coup! Ca change de Porquerolles ou de la côte d'Opale.